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  • Un entretien avec les auteurs de "Entre Chien et Loup"

    Regard indépendant : Entre Chien et Loup est signé de vos deux noms. Comment vous répartissez vous le travail ?


    On ne peut pas dire qu’il y ait eut de réelle répartition des tâches. Nous avons choisit de travailler ensemble à toutes les étapes du film (scénario, découpage, tournage..) en nous concertant, en échangeant tous nos points de vues et idées. Au final, cette manière de travailler nous a permis d’affiner tous nos choix. La coréalisation c’est très bien déroulée et n’a fait qu’enrichir le film.


    RI : Après l'indéniable réussite de Souk El Had l'an dernier, vous craigniez que l'on ne vous attende au tournant du second film ?


    Non pas plus que ça. Nous travaillons avant tout pour nous-même et chaque film a une histoire différente.


    RI : Plus d'un an après, quel bilan faites vous de la carrière de Souk El Had ?


    Je ne sais pas si l’on peut parler de carrière pour Souk el Had. Ce fut un bon moyen d’apprentissage et une expérience humaine et professionnelle très enrichissante. Nous avons fait quelques festivals.


    RI : Comment est venue l'histoire d'Entre Chien et Loups ?


    Lorsque que nous avons évoqué l’idée de coréaliser, il nous est apparut comme primordial de trouver un thème qui nous concernerait tous les deux. Nous nous sommes réunis pour en discuter et très vite, nous est venu l’envie de raconter une histoire d’amour et de haine entre deux frères.


    RI : Il y a de belles Ambiances dans Entre Chien et Loups. Comment travaillez vous l'image ?


    L’ambiance et l’éclairage du film se devaient de faire corps avec nos personnages et notre histoire. L’idée était d’obtenir une lumière stylisée sans jamais paraître artificielle. Nous avons beaucoup discuté avec notre directeur photo (Kentin de Lamarzelle) qui a bien sut comprendre nos volontés et les traduire à l’image.


    RI : Quelques mots sur les comédiens ?


    Nous les avons rencontré sur Paris. Lors des essais, ils ont joué une scène ensemble et il s’est réellement passé quelque chose entre nous quatre. Ils étaient à notre écoute, ont très bien compris ce que nous voulions raconter et ont su enrichir les personnages et l’univers du film.


    RI : Comment s'annonce la carrière de ce second film. Vous avez déjà eu le prix des exploitants niçois ?


    Nous faisons les démarches nécessaires pour participer aux festivals. Pour le moment, le film a été sélectionné à Fréjus et à Limoges. Nous attendons prochainement d’autres réponses.


    RI : Question rituelle : quels sont vos projets et les voyez vous dans la région ?


    Nous travaillons chacun de notre côté à l’écriture de nouveaux scénarii que nous pensons tourner dans le nord de la France.

  • Fréquentation

    A moins de 24 heures de la soirée d'ouverture, relevé des compteurs pour le blog des Rencontres : plus de 2500 connexions dont près de 700 visiteurs uniques. Difficile de dire ce que cela va signifier, mais c'est très encourageant, sachant que le blog de l'association a mis près de six mois pour atteindre les 1000 connexions. Si la moitié des visiteurs font le déplacement... Au moment d'aller me coucher en méditant mon discours d'ouverture, je croise mentalement les doigts. A demain.

  • Vidéos d'Art - Mardi 25

    Proposé par Philippe Frey avec la complicité de Frédéric Nakache, un programme de vidéos expérimentales d'une demi-heure assurera la liaison entre les deux partie du Gran Festival, mardi 25.

    Tallis et Corridor sont deux courtes pièces réalisées par Sylvain Fogato avec Christophe Guiraud pour les sons. « Deux objets issus de la confrontation d'expérimentations visuelles et musicales, refusant les principes d'illustration sonore, de structure narrative, de mise en image d'une composition musicale, au profit d'un travail climatique ».

    Der Himmel Und Der Erde (le ciel et la terre) de Sophie Solnychkine avec Malcolm Dakeyo pour le son. Ce travail propose une réflexion sur le paysage « naturel » envisagé sans coupure avec les éléments artificiels. A des vues distantes et froides d'étendues désertiques sont associés piliers de lignes haute tension, lignes électriques et baraques de chantier, artefacts, éléments éphémères et autres mobiliers en attente, qui végètent dans les campagnes en en modifiant le visage. Pourquoi ne pas cesser de considérer l'un comme une défiguration de l'autre, surtout en séparant des éléments qui sont autant de données coexistant dans la même réalité, selon un mode linéaire ? S'interroge Sophie Solnychkine qui « recherche ainsi une forme qui serait celle du soundscape, ou paysage sonore, et qui associerait paysage visuel et paysage sonore, dans une perspective de réunion d'un tout, de récréation d'un réel unifié.

    Suivra un « Making-of » du Kiosque à Image réalisé pour l'association Le Hublot par Elisabeth Vissio.

    Puis Titanes Disco Tiempo, pièce vidéo de Lionel Bayol-Thémines faisant partie d'une installation photo-vidéo-son réalisé lors d'une résidence à la Maison Nationale des Artistes.

    Le regard qu'il porte sur ses « Titanes », qui arborent en tous lieux leurs masques « moirés, nacrés, lamés » qui s'opposent, comme dans le récent pamphlet de Regis Debray, au « flapi, crevassé, fané », ces masques de lutteurs anachroniques qui s'inscrivent dans un univers en apparence paisible, nous obligent à fixer frintalement l'image de notre société face à la vieillesse. Gérad Alaux (Directeur de la Fondation des Arts Graphiques et plastiques).

  • Il Faut Dire Les Choses.

     

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    Éric de Montgolfier analyse les principaux évènements qui ont marqué ses six années de mandat au TGI de Nice. La situation de la justice niçoise telle qu’il l’a trouvée à son arrivée avec ses spécialités clientélistes, ses démêlés avec les réseaux maçonniques, la guerre au palais, le bras de fer avec les politiques locaux et, enfin, il fait le bilan de son parcours et se livre à une réflexion sur les carences de notre démocratie.

    Ce documentaire prenant comme un thriller est la dernière oeuvre de Michèle Bondi, cinéaste d’investigation niçoise formée au Brésil. On lui doit notamment La Terre à tremblé à Nice sur les municipales de 2001. Curieuse, opiniatre et rigoureuse, ses films nous offrent une autre vision de Nice, de son histoire immédiate. Un cinéma engagé pour mieux comprendre notre ville. Je vous propose de retrouver les impressions de notre trésorier à l'issue de la séance de visionnement de ce film que je vous incite à découvrir, non seulement pour son sujet passionnant, mais pour son style.

    Le documentaire sera présenté le jeudi 27 octobre à 21h30 au Théâtre Trimages.



     


  • Petits changements de programme

    C'est inévitable, il y aura quelques modifications sur la programmation. la plus notable concerne la soirée d'ouverture. Pris par le temps, Rimb ne sera pas présenté lundi mais vendredi, pour vous apparaître au mieux de sa forme. Pour ceux qui auraient eu le tract édité la semaine passée, le programme de samedi a été chamboulé (un peu) suite à la sélection de La Route Turque, ce très beau documentaire. Circumvisions et la performance de Emmanuel Benichou seront programmés à 18h30 pour laisser l'ouverture de la journée au récit de voyage de Jean-Baptiste Warluzel et Falk van Gaver.

    Enfin, le programme de vidéos d'art proposé par Philippe Frey et Frédéric Nakache s'établit comme suit : Tallis et Corridor de Sylvain Fogato, Der Himmel und Erde (le ciel et la terre) de Sophie Solnychkine, Making of. kiosque à Images. Le Hublot de Elisabeth Vission et  Titanes Disco Tempo de Lionel Bayol-Thémines. je vous en parle tout bientôt.


     

  • Films d'écoles

    Voici une programmation qui peut laisser le spectateur potentiel sur sa réserve. Par film d'école nous entendons les films réalisés dans un cadre scolaire ou d'atelier, par des enfants ou des adolescents. Le spectateur réservé a pourtant peu de chances d'être déçu par ces programmes. Il y a, malgré les maladresses formelles parfois et les contraintes de l'exercice, un regard souvent original, une fraîcheur dans l'acte de faire un film. Il y a aussi le plaisir de la découverte, nombre de réalisateurs programmés dans d'autres sections ayant fait leurs débuts dans un cadre scolaire. Je ne saurais trop vous inciter à assister à ce programme qui sera diffusé le mardi 25 octobre à 19h30.


    L'atelier d'animation de la Cinémathèque de Nice initie enfants et adolescents aux techniques d'animation. Comme chaque année, nous vous présentons une sélection de leurs meilleurs travaux : Coquin Petit Chat de Alise Canis et Clara Badaoui (groupe 7/9 ans) ; Corneille et Bernie de Jonathan Porterat et Florian Molle (groupe 10/13 ans) ; Le Hérisson de Jérémie Miot (groupe 10/13 ans) ; La Création de Cynthia Visvalingam (groupe 10/13 ans) ; Divina Institia In Monasterim de Fanny Genoux et Florent Fayolle (groupe 14/20 ans). Les films des tout jeunes sont souvent délicieux.

    Des enfants joyeux. Des adultes pervers. Un trou d’une serrure, une fenetre sur une vie nouvelle ? La Boîte à Musique de Ingrid Castaing, réalisatrice de talent souvent programmée aux Rencontres, est un projet à l’initiative de Sandra Pasternak et Brigitte Revest en partenariat avec l’association Amnesty International. Un travail sur le thème de l'enfance a été effectué avec des élèves du Lycée Paul Valery de Menton. Une première histoire en est sortie qui a évolué progressivement vers ce court métrage de 5 minutes intenses. Ingrid et les enseignants ont encadré une équipe composée des élèves ainsi que de professionnels de la région. Une belle expérience qu'il serait intéressant de reconduire.

    Comme chaque année également, une large part de ces programmations de films d'école sont consacrées aux films de l'ESRA Côte d'Azur. Je tiens à remercier ici son Directeur, Thierry Collard, pour son soutien constant et l'opportunité que nous avons de diffuser des films dont certains sont restés dans les annales de la manifestation. Cette année, nous avons décidé de vous montrer l'intégralité de la production des troisièmes années. Des auteurs en devenir qui sont désormais lancés dans la grande aventure du cinéma. Vous retrouverez Entre Chien et Loup De Ronan Bertrand et Gregory Ocelli, les auteurs de Souk El Had, Glory Hole de Guillaume Foirest. Le Coeur Sec de Ilana Schouver et Marine de Sébastien Gans.

    Venez les découvrir et les soutenir, ce sera pour beaucoup la première expérience d'un véritable public.

  • Ambiance

    Il est 23h00. J'écoute la compilation de musiques sous Créative Commons proposée par Jamendo tout en achevant la liste des films qui vont occuper les écrans de Trimages la semaine prochaine. Les musiques sont vraiment chouettes. Tout à l'heure, nous nous sommes fait peur, avec Brigitte, parce que certains films étaient dans certains camions dont le planning restait incertain. Puis je me suis rendu au théâtre discuter avec un responsable de la Compagnie Humaine et la danseuse qui évoluera devant les spectateurs de jeudi 27. Nous avons parlé devant la sène. La salle était étrangement calme. Elle nous attend. Le lieu possède une atmosphère. Y serez vous sensibles ?

  • Danse, vidéo et cinéma

    Cette année, le spectacle vient apporter sa dimension vivante aux Rencontres à travers quatre programmations autour de la danse et de la vidéo.

    Jeudi 27, c'est la Compagnie Humaine qui « ouvre le bal » avec Inside the Cube, performance vidéo réalisée par Éric Oberdorff et dansée par Jeanne Sophie Chossat autour d'un cube étonnant aux multiples facettes oeuvre de artiste plasticienne Nadine Spinoza (The White Cube). La Compagnie Humaine, (soutenue par les villes de Nice et Cannes, le Conseil Régional PACA et le Conseil Général des Alpes Maritimes ainsi que par la DRAC PACA) est l'une des compagnies chorégraphiques les plus actives et les plus originales de la région. Fondée en 2002 par Eric Oberdorff, ancien danseur des Ballets de Monte-Carlo, elle proposera également Sometimes, une captation de leur dernier spectacle monté au théâtre national de Nice en 2005 et co réalisée par Loic Deltour et Eric Oberdorff. La compagnie Humaine a également participé activement au projet Rimb de Loïc qui sera présenté vendredi 28.

    Paolo Nocera fera également partie de cette programmation du jeudi avec la vidéo de son spectacle Chère Kitty, autour du journal d'Anne Franck. Paolo Nocera est danseur soliste au Ballet de l'Opéra de Nice et Chorégraphe.

     

    Vendredi, ce sera la Compagnie Antipodes qui occupera la scène dès 19h30 avec un spectacle inédit Ich Bin Don Quichotte. Variations autour du célèbre Hidalgo avec un dispositif original non sans rapports avec les moulins espagnols. La Compagnie Antipodes a été crée à Nice en 1997 par Lisie Philip, dont certains se souviendront de son rôle de Rosie dans le film homonyme de Cédric Romain. Antipodes a développé un concept de fusion entre danse et théatre. Cette année ils ont proposé le spectacle Ma Niak au Nhéâtre National de Nice. Ich Bin Don Quichotte est le prélude à un nouveau spectacle prévu pour 2006.

     

    Enfin, la Compagnie Reveida fera la transition entre les deux séances via un entracte déambulatoire. Jolie formule. Reveida est un amalgame du mot “rêve” et du mot grec “Eïdos” (idée) employé par Platon pour désigner ce que devrait être l'acte artistique : avoir une démerche d'interprétation du monde et non de simple représentation. Cette compagnie a été créée en 2002 par Delphine Pouilly et présentera une vidéo autour de sa dernière création : Ca m'allume des larmes aux oreilles, un spectacle en résidence et soutenu par la ville de Valbonne.

     

    En cerise sur le gateau, si vous me passez l'expression, deux courts métrages viendront renforcer cette réfexion autour des liens entre les différentes pratiques : Miettes d'Intimités de Catherine Savy, présenté aux rencontres 2003, ce premier film d'une réalisatrice venue de la danse avait séduit par la synthèse entre les univers de la comédie musicale et du conte. Esquisse, court métrage de Loïc Deltour réalisé en 2004 pour notre série la femme à laquelle je pense, est le premier travail d'utilisation de la danse dans une fiction de cinéma de son auteur et préfigure sans doute le dispositif ambitieux de Rimb.

     

    Autour de cet alléchant programme, une table ronde réunira les principaux participants le vendredi 28 à 17h30 : les compagnies Humaine, Antipodes et Reveida, Fabien Aïssa du collectif La Réplique, Loïc Deltour, Fred Alemany de l'association Le Hublot et Stéphane Eichenholc de la Compagnie Arcadia. Nous y discuteront des rapports entre cinéma, vidéo, théâtre et danse à travers les expériences et conceptions de chacun.

  • Les Rencontres pratiques

    La dernière ligne droite s'approche et le moment me semble bien venu pour donner quelques informations pratiques :

    Les lieux des Rencontres :

    Cinémathèque de Nice, Acropolis, 3, esplanade Kennedy - Nice

    Théâtre Trimages, 17, rue Alsace Lorraine - Nice

    On m'excusera d'insister sur la situation géographique du théâtre Trimages, mais Acropolis me semble mieux identifié que la rue Alsace Lorraine. Une fiche pratique, en téléchargement à votre gauche vous donne un plan d'accès. Plusieurs parkings sont disponibles à proximité.

    Les tarifs :

    Une séance : 4 € / tarif édudiant : 3 €

    Pass Rencontres (valable toute la manifestation) : 20 €

    Pass Rencontres et adhésion 2006 à Regard Indépendant : 40 €

    Conférence-débat et tables rondes : entrée libre.

    Les séances d'ouverture et de clôture sont accessibles sur invitation en fonction des places disponibles. Les invitations se demandent par couriel : regardindependant@gmail.com ou au 04.93.62.12.84.

    Sur place, vous trouverez un espace bar et, à la vente, les Nouvelles Liaisons Covalentes, le journal de l'association ainsi que quelques ouvrages spécialisés.

    Le programme :

    Il est en téléchargement sur votre gauche, ainsi qu'une grille simplifiée pour mieux organiser votre semaine. comme tout programme qui se respecte, il est suceptible de modifications, y compris au dernier moment. C'est la loi du spectacle. "The show must go on" comme on dit dans les comédies musicales.

    L'équipe :

    Elle sera à votre disposition pour vous faire passer un moment agréable et vous espére nombreux. N'oubliez pas votre clef USB ou un CD vierge pour bénéficier de la bande son de la manifestation.

    Nous vous souhaitons de bonnes Rencontres, pleines de découvertes et de ravissements.

  • Invitations au voyage - samedi 29

    Sans concertation aucune, trois films très différents présentés lors des rencontres sont trois superbes invitations au voyage. Est-ce l'effet du centenaire de Jules Verne qui nous a influencé et lancé sur les pistes glacées du pôle où les routes désertiques de l'Ourika ?

    La Route Turque de Jean-Baptiste Warluzel et Falk van Graver, deux résidents du Var, nous entraîne pendant une heure à la découverte des peuples turcophones, dans un trajet qui remonte les voies de peuplement turc depuis l’Anatolie jusqu’à l’Altaï, à travers les principales régions de la turcophonie : Turquie, Azerbaïdjan, Ouzbékistan, Kirghizstan, Kazakhstan, Xinjian-Ouighour, Altaï. Autant de noms qui font rêver. D’octobre 2004 à février 2005, les deux réalisateurs ont sillonné routes et pistes d’Asie mineure à bord de leur Renault 4L, pour saisir dans la rudesse hivernale la vie de ces peuples formidables. Les images sont magiques.

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    « Dépouillé de commentaires et de musique, détaché des modes du temps, sans complaisance ni concession au commerce, mais habité par la clarté, la simplicité et la luminosité, la parti pris radical et populaire de la Route Turque est d’atteindre à l’universalité en invitant la spectateur à la contemplation ».

    Le film est soutenu par Mondes Réels et, pour les amateurs, un récit du voyage est à paraître au printemps 2005 aux Presses de la Renaissance. La Route Turque sera présentée pour la première fois à Nice le samedi 29 octobre à 14h30.

    Circumvisions de Marie France Giraudon et Emmanuel Avenel est un film canadien qui ouvrira la programmation de 18h30 le samedi 29. Tous deux sont des artistes multimedia qui coréalisent vidéos et installations depuis 1985. leur film envoûtant est une expérience de glaces, de neige et de mer. Un voyage au son des pas sur la neige et des craquements des icebergs.

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    "Une navigation circumpolaire entre réel et illusion, vécu et imaginaire, se mue en un périple-péril étrange dans l’univers merveilleux des mirages, en quête d’un dépassement de toutes les limites, de l’horizon, de l’infini…Cette odyssée-fabulation magique nous convie à une initiation au Mystère au sein d’un océan glacé agité des transes du Cosmos."

    Présenté en clôture, toujours le samedi 29, My Beautiful Pigeot est le nouveau film d'Eric Bergel qui après Pays Natal D'Adoption et Peines de Vies, est monté avec sa caméra à bord d’un vieux pick-up orange pour des chroniques de la vallée de l’Ourika, au Maroc, "De Marrakech aux sommets du Grand Atlas, Khalid nous balade, se raconte, s’interroge sur son pays, ses origines, sa foi…Qui sont à l’origine les berbères ? Etaient-ils tous des juifs ? La condition de la femme berbère est-elle prête à évoluer ? ..."

    Ce film est un parcours identitaire au cœur des montagnes et des peuples berbères ; il dessine une ascension philosophique et humaine.

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    De retour du Festival Méditerranéen de Montpellier, Eric Bergel, l'un des auteurs les plus talentueux de la région, accompagnera ce riche voyage plein de couleurs et de musique pour conclure en beauté ces 7e Rencontres.